Ma coach de thèse, en bref...
Estefania Dominguez
Docteure en Didactique des langues et des cultures
Je m’appelle Estefania.
Je pourrais commencer par dire que je suis docteure en Didactique des langues et des cultures (Université Sorbonne Nouvelle) et te parler de ma thèse, de mes publications, des cours que j’ai dispensés, etc.
Je pourrais aussi te dire que je suis franco-galicienne et que tout ce qui touche à l’interculturel ou à la psychologie humaine me passionne… et encore, te dire que je suis obsédée par poser des questions, je veux tout comprendre et parfois, je ne comprends rien !
Alors, dans ce qui suit, je vais plutôt essayer de partager au mieux ce qui me porte.
Ce qui m’anime
Tout d’abord, ce qui me tient à cœur, c’est le lien humain. C’est capital pour moi : créer du lien, l’entretenir et le nourrir par l’écoute, l’empathie, le partage et la joie.
Ensuite, ce qui me passionne, c’est trouver des solutions (on ne devient pas chercheuse par hasard 😉). Prendre de la hauteur, avoir une vue d’ensemble, poser des questions tout en dégageant la singularité et la couleur de la personne que j’accompagne, sont autant de choses que je fais naturellement avec, à la clé, des réponses et des stratégies adaptées. C’est une partie de ma trousse à outils que j’applique dans mes accompagnements de thèse ou de master.
Enfin, ce qui me révolte et me donne la force d’agir, c’est ce que je constate. Une partie de notre monde se transforme en un lieu froid, injuste, basé sur la productivité au détriment de ce qui nous caractérise : notre humanité ! Stress, angoisse, burn-out sont au RDV pour beaucoup trop de personnes, dans le monde du salariat, de l’entreprenariat, de l’éducation et de la recherche. Durant ma thèse, j’ai mis les pieds dans un univers difficile, concurrentiel, très solitaire, énormément axé sur le pan intellectuel où le versant humain – la vulnérabilité, la souffrance et les émotions – est essentiellement mis sous le tapis !
Ma coach de thèse prend ses racines dans ce constat et se veut une ressource pour, à son échelle, briser l’omerta liée aux vécus singuliers et réels des doctorant.e.s et offrir un accompagnement qui répond aux besoins des doctotant.e.s et des masterants-es.
Je ne remplace ni les écoles doctorales, ni les directrices.teurs, je propose un autre espace d’aide et d’accompagnement où l’écoute active, les émotions, les souffrances et les réalités du quotidien d’un.e doctorant.e ne sont pas des aspects secondaires de la vie de thèse !
Mon sac à dos
Pour mener au mieux mon travail d’accompagnement des doctorant.e.s, je m’appuie sur :
Plusieurs années d’enseignement à l’université lors desquelles j’ai développé mes compétences en pédagogie, didactique, communication et accompagnement. Enseigner, c’est partager, guider dans le respect du bagage de l’autre, créer des passerelles. Lors de mes encadrements de rapports de stage et de mémoires de recherche, j’ai pu construire progressivement une démarche d’accompagnement au plus près des singularités de mes étudiant.e.s. Je les ai guidé.e.s dans leur recherche et les ai soutenu.e.s.
Celle qui résulte de ma propre thèse pour laquelle j’ai mis en place, d’un point de vue méthodologique, une « démarche réflexive » visant à mieux comprendre les pratiques professionnelles de mes enquêtées. Mes lectures, mes expériences de terrain, mes communications et publications m’ont permis de mesurer l’importance de la verbalisation. En effet, mettre en mots pour soi, pour autrui ou avec autrui, dans un cadre bienveillant, est une des clés majeures dans tout projet, la thèse n’est pas une exception. Faire des pas de côté, pour prendre de la hauteur, pour clarifier est une activité réflexive hautement aidante.
Co-créer une association qui aide les doctorant.e.s m’a permis de côtoyer des centaines de personnes qui vivent les mêmes problèmes : difficulté à concilier leurs différentes casquettes (vie privée, vie professionnelle, vie académique, etc.), peur de montrer leurs doutes, syndrome de l’imposteur, solitude, difficultés relationnelles avec les directrices.teurs de thèse, manque de motivation, etc. Animer les ateliers a été pour moi l’occasion de constater le besoin d’accompagnement des jeunes chercheuses.eurs.
C’est peu dire que ça a été une expérience difficile. Faire une thèse et surtout finir ma thèse a été un véritable parcours de combattante. Les montagnes russes émotionnelles, les nœuds de rédaction, une version 1 finale qui ne tient plus, les cours à dispenser à la fac en même temps, une vie sociale réduite, la précarité, les soucis de santé, etc. Dans cet exercice d’équilibriste, une des choses qui me remplissait d’énergie était d’aider les autres doctorant.e.s. Là était le domaine dans lequel je ressentais de la sérénité, de la clarté et de la joie.
Pour la petite histoire, pendant mon doctorat, je répétais dans ma tête « je veux une coach de thèse qui me bouge et surtout qui me comprenne ».
TADAM !! Désormais docteure avec un sac à dos rempli d’expériences et d’envies : Ma coach de thèse existe !
Faire et finir une thèse
Pour commencer, pour traverser, pour vivre, pour s’écouter, pour ramener de l’humanité dans la thèse et pour finir la thèse : Ma coach de thèse est là !
Un accompagnement unique en son genre. Ma recette singulière est basée sur l’empathie, l’écoute active, la bienveillance, le respect du rythme de chacun.e, la prise en compte des émotions, la rigueur, la pédagogie et, cerise sur le gâteau, la joie et la bonne humeur 😊 (oui, elle rime avec professionnalisme).
Je t’aide à cheminer dans ton expérience de thèse ou de master – à ton rythme – avec des programmes créés dans la bienveillance. Je mets tout mon cœur et mon énergie dans mes accompagnements, pour que tu puisses mieux-vivre ton doctorat ou ton master, tout en accueillant ta réalité et tes émotions et pour que « finir ta thèse » devienne une réalité fluide (sans y perdre ta peau !).
